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Les nouveaux Groupes de Couleur Locale

Les deux premiers Groupes d'activités se constituent dans Couleur Locale : Alameda Conga Son, un groupe fraco-cubanais et Artisans de Bassam, un groupe franco-ivoirien.

Prévu par les statuts de l'association Couleur Locale, cette posibilité n'avait encore jamais été mise en oeuvre.


C L E D




Faire un livre c'est aussi cher qu'un cd et très difficile à vendre.
je souhaite publier un livre puisque faire un cd me parait si cher. j'écris et chante du rap, puisque ça ne plaît pas à tout le monde ,c'est trop vulguaire parfois il y a les vrais et les faux ceux là nous font toujours défauts . Moi j'écris profond des textes engagés socialement. voilà mon site bonne visite http://ouarda3.skyblog.com

Robert Letan

Lundi 4 Oct l'Express "édition internationale" publie un article concernant Robert.


Bonjour à tous! Je m'appelle Zamtakoh Omar,je suis étudiant en 1ère année médécine à l'université de Ouagadougou.J'aimerai vraiment élargir mon champ d'amis(es).Je suis à votre écoute ! Réponse assurée! omar_spenser@yahoo.fr
Excuser ! c'est Zamtako Omar ,étudiant en 1ère année médécine au Burkina contact: omar_spenser@yahoo.fr
Bonjour à tous! nous sommes deux jeunes Burkinabè(afrique de l'ouest).Nous accueillons au moins 5 à 6étrangers par ans pour les faires découvrir notre pays et sa culture.Nous invitons alors tout ceux qui seront bien intéressés de nous contacter sur : dieudonne_kabo@univ-ouaga.bf Merci d'avance
Bonjour à tous! Je m'appelle Zamtakoh Omar,je suis étudiant en 1ère année médécine à l'université de Ouagadougou.J'aimerai vraiment élargir mon champ d'amis(es).Je suis à votre écoute ! Réponse assurée!

Pourquoi les voiles posent tant de problèmes ?

Port de la voile pour éole : Oui sans retenue, c'est écologique.

Si la personne est un peu plate, ça fait une planche à voile : c'est sportif.

Ca cache les moches et les mal-foutues.

Avec le voile on a un préservatif intégral. Pour une fois les musulmans sont plus gâtés que les cathos qui n'ont que JP II comme remède à l'amour.

Bises


avez vous l'intention de faire une action contre le port du voile dans les ecoles ? nous sommes de nombreuses femmes à être choqué de l'inaction des élites sur la tolérence du voile islamique de la bourka et du tchador dans les rues, en tant que femmes nous constatons du peu de respect que l'on fait des droits des femmes, ces tenues représentent la soumission, l'abnégation totale de la femme, la cacher sous une toile de tente pour ignorer son exsistente dans un pays laïque et républiquain, en faisant le jeu de l'autruche les élites n'offrent pas aux femmes et aux jeunes filles maghebines la possibilité de s'integrer. alors quand allons agir avant qu'il ne soit trop tard, notre laïcité est déjà en danger
La librairie AKILIT met a votre disposition quelques dizaines de milliers de livres tous thèmes http://www.akilit.com bonne visite
Demande de lien sur votre page LIBRAIRIES (Livres d'occasion/livres anciens) ou ACTUALITES Bonjour Je vous prie de bien vouloir ajouter la librairie AKILIT sur votre page de liens. http://www.akilit.com Merci par avance. Cordialement. Dominique PETIT-LAURENT Akilit Commandes en ligne - paiement sécurisé bp 99 33041 BORDEAUX CEDEX tel/fax 05 56 24 15 62 portable 06 72 12 17 24 Ps: Vous possedez un site ? L'affiliation vous concerne ? Inscrivez-vous. Echange lien culturel et livresque possible possible.

"L"Anarchie son but, ses moyens edition de 1899 agrémentée d'un portrait et d'une bibliographie plus une jolie couverture."

Réédition par Robert Letan


Sortie du Tome II : Ici

"La mise en place des monopoles du savoir", vient de paraître aux Editions l Harmattan et est disponible sur les librairies en ligne www.alapage.com et www.chapitre.com.

Cet ouvrage a pour but d inventorier les conséquences, subies depuis une quarantaine d années par les pays non anglophones, de l adoption presque généralisée de l anglais comme outil de communication internationale dans le domaine de la recherche en science et en technologie.

Il y a presque 35 ans, la plupart des facultés de sciences aux Etats-Unis supprimaient leur «Ph.D. foreign language requirement». Jusque là, tout futur doctorant américain dans une discipline scientifique devait obligatoirement prouver qu il maîtrisait au moins UNE des grandes langues scientifiques autres que l anglais, et cela suffisamment pour pouvoir comprendre sans difficulté toute publication dans sa spécialité rédigée dans cette langue. Les langues étrangères alors reconnues par les universités nord-américaines comme «langues scientifiques» comprenaient généralement un sous-ensemble de langues indo-européennes (allemand, espagnol, français, russe, ), sémitiques (arabe littéraire) et asiatiques (japonais et mandarin).

Aujourd hui, à quelques rares exceptions près, ce «Ph.D. foreign language requirement» n existe plus dans les disciplines scientifiques. Depuis sa suppression, des pressions directes et indirectes ont été exercées sur les congrès scientifiques internationaux - autrefois multilingues - pour qu ils deviennent progressivement unilingues, et la même tendance s est appliquée aux revues et journaux présentant les résultats des recherches fondamentales, dans les pays anglophones comme ailleurs. La disparition progressive des langues autres que l anglais du domaine de la communication scientifique internationale suivait en fait les directives énoncées dans l «Anglo-American Conference Report 1961». Ce document de nature confidentielle était destiné au British Council dont l actuel président Tony Andrews déclare d ailleurs sans complexe que «l anglais devrait devenir la seule langue officielle de l Union européenne» (rapporté par le Frankfurter Allgemeine Zeitung du 27 ja! ! nvie r 2002). Rien que ça ! Parallèlement, de nombreux laboratoires, instituts, centres de recherche et même certaines divisions d industries manufacturières ont, dans divers pays non anglophones, adopté l anglais comme langue «officielle» de leurs activités sous la pression de leurs dirigeants qui prétextaient des nécessités commerciales et des impératifs de communication à l échelle planétaire.

«La mise en place des monopoles du savoir» présente un examen détaillé de la situation actuelle et démontre que l adoption officielle ou officieuse de l anglais comme véhicule de communication internationale dans le seul domaine scientifique entraîne un certain nombre d effets pervers pesant très lourds par rapport aux bénéfices que cette pratique est censée apporter à ses promoteurs. Plus particulièrement dans le cadre universitaire, elle entraîne la formation de monopoles en opposition absolue aux principes de libre accès au savoir dans des établissements d enseignement supérieur libres et ouverts.

L'actuel quasi monopole du savoir technico-scientifique moderne détenu par les Anglo-américains - que certains refusent d admettre - n est pas lié aux seuls mérites de leurs chercheurs et de leurs ingénieurs. Dans une large part, il est la conséquence directe de l adoption de la langue anglaise comme langue internationale en science et en technologie, démultipliant ainsi la visibilité du monde anglo-saxon dans ces secteurs au détriment de celle des autres. A terme, l'usage de plus en plus répandu de l anglais dans les laboratoires de recherche, qu il soit librement choisi ou imposé, aboutit à une véritable stérilisation du processus créatif, à un réalignement automatique sur les thèmes de recherche anglo-américains et à des contributions presque exclusivement techniques. La pensée scientifique est probablement condamnée à stagner tant que les langues autres que l anglais n auront pas reconquis leur statut d outil d investigation et de communication à part entière dans tous! ! les secteurs de recherche.

Ce livre cible les universitaires et les ingénieurs qui sont impliqués dans des activités de recherche. Il désacralise un sujet tabou, celui de l usage de plus en plus répandu de l anglais comme véhicule de communication dans le monde moderne de la recherche. Il dénonce la naïveté de ceux qui croient que l usage de cette langue est neutre alors qu elle entraîne des altérations considérables dans la nature de la démarche scientifique, sans compter les énormes privilèges économiques et politiques (en faveur des nations anglophones) créés dans son sillage. L ouvrage fait voler en éclats le mythe de la prétendue nécessité d une lingua franca dans les sciences et les techniques sur la base d un argumentaire totalement pragmatique et indispensable à tous ceux qui veulent donner un nouveau souffle à la créativité scientifique. Il fournit de nombreuses explications et informations pour comprendre ce qui se passe. En l absence totale de vision à long terme qui caractérise la plu! ! part des sociétés industrialisées contemporaines, il comble un vide qui sévit dans la pensée actuelle en touchant un problème crucial qu'il convient de laisser de côté, selon certains.

La mise en place des monopoles du savoir, Editions l'Harmattan, 120 pages, ISBN: 2747517713. Disponible sur www.alapage.com ou www.chapitre.com (rechercher par titre ou ISBN)


\"La mise en place des monopoles du savoir\"

vient de paraître aux Editions l?Harmattan et est disponible sur les librairies en ligne www.alapage.com et www.chapitre.com.

Cet ouvrage a pour but d?inventorier les conséquences, subies depuis une quarantaine d?années par les pays non anglophones, de l?adoption presque généralisée de l?anglais comme outil de communication internationale dans le domaine de la recherche en science et en technologie.

Il y a presque 35 ans, la plupart des facultés de sciences aux Etats-Unis supprimaient leur «Ph.D. foreign language requirement». Jusque là, tout futur doctorant américain dans une discipline scientifique devait obligatoirement prouver qu?il maîtrisait au moins UNE des grandes langues scientifiques autres que l?anglais, et cela suffisamment pour pouvoir comprendre sans difficulté toute publication dans sa spécialité rédigée dans cette langue. Les langues étrangères alors reconnues par les universités nord-américaines comme «langues scientifiques» comprenaient généralement un sous-ensemble de langues indo-européennes (allemand, espagnol, français, russe,?), sémitiques (arabe littéraire) et asiatiques (japonais et mandarin).

Aujourd?hui, à quelques rares exceptions près, ce «Ph.D. foreign language requirement» n?existe plus dans les disciplines scientifiques. Depuis sa suppression, des pressions directes et indirectes ont été exercées sur les congrès scientifiques internationaux - autrefois multilingues - pour qu?ils deviennent progressivement unilingues, et la même tendance s?est appliquée aux revues et journaux présentant les résultats des recherches fondamentales, dans les pays anglophones comme ailleurs. La disparition progressive des langues autres que l?anglais du domaine de la communication scientifique internationale suivait en fait les directives énoncées dans l?«Anglo-American Conference Report 1961». Ce document de nature confidentielle était destiné au British Council dont l?actuel président Tony Andrews déclare d?ailleurs sans complexe que «l?anglais devrait devenir la seule langue officielle de l?Union européenne» (rapporté par le Frankfurter Allgemeine Zeitung du 27 ja! ! nvie r 2002). Rien que ça ! Parallèlement, de nombreux laboratoires, instituts, centres de recherche et même certaines divisions d?industries manufacturières ont, dans divers pays non anglophones, adopté l?anglais comme langue «officielle» de leurs activités sous la pression de leurs dirigeants qui prétextaient des nécessités commerciales et des impératifs de communication à l?échelle planétaire.

«La mise en place des monopoles du savoir» présente un examen détaillé de la situation actuelle et démontre que l?adoption officielle ou officieuse de l?anglais comme véhicule de communication internationale dans le seul domaine scientifique entraîne un certain nombre d?effets pervers pesant très lourds par rapport aux bénéfices que cette pratique est censée apporter à ses promoteurs. Plus particulièrement dans le cadre universitaire, elle entraîne la formation de monopoles en opposition absolue aux principes de libre accès au savoir dans des établissements d?enseignement supérieur libres et ouverts.

L\'?actuel quasi monopole du savoir technico-scientifique moderne détenu par les Anglo-américains - que certains refusent d?admettre - n?est pas lié aux seuls mérites de leurs chercheurs et de leurs ingénieurs. Dans une large part, il est la conséquence directe de l?adoption de la langue anglaise comme langue internationale en science et en technologie, démultipliant ainsi la visibilité du monde anglo-saxon dans ces secteurs au détriment de celle des autres. A terme, l?usage de plus en plus répandu de l?anglais dans les laboratoires de recherche, qu?il soit librement choisi ou imposé, aboutit à une véritable stérilisation du processus créatif, à un réalignement automatique sur les thèmes de recherche anglo-américains et à des contributions presque exclusivement techniques. La pensée scientifique est probablement condamnée à stagner tant que les langues autres que l?anglais n?auront pas reconquis leur statut d?outil d?investigation et de communication à part entière dans tous! ! les secteurs de recherche.

Ce livre cible les universitaires et les ingénieurs qui sont impliqués dans des activités de recherche. Il désacralise un sujet tabou, celui de l?usage de plus en plus répandu de l?anglais comme véhicule de communication dans le monde moderne de la recherche. Il dénonce la naïveté de ceux qui croient que l?usage de cette langue est neutre alors qu?elle entraîne des altérations considérables dans la nature de la démarche scientifique, sans compter les énormes privilèges économiques et politiques (en faveur des nations anglophones) créés dans son sillage. L?ouvrage fait voler en éclats le mythe de la prétendue nécessité d?une lingua franca dans les sciences et les techniques sur la base d?un argumentaire totalement pragmatique et indispensable à tous ceux qui veulent donner un nouveau souffle à la créativité scientifique. Il fournit de nombreuses explications et informations pour comprendre ce qui se passe. En l?absence totale de vision à long terme qui caractérise la plu! ! part des sociétés industrialisées contemporaines, il comble un vide qui sévit dans la pensée actuelle en touchant un problème crucial qu\'il convient de laisser de côté, selon certains.

La mise en place des monopoles du savoir, Editions l\'Harmattan, 120 pages, ISBN: 2747517713. Disponible sur www.alapage.com ou www.chapitre.com (rechercher par titre ou ISBN)


L'pet pète
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Bonjour madame la BU


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